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Comment garder l'attitude positive
Quand les augures sont rétifs
Alors que chaque tentative
Se cognent sur les récifs
J'ai la tête dans le brouillard
2016 finit sans apothéose
Les fêtes se préparent
Quitte ton air morose
Sur la portée mystérieuse de la vie
Des couacs criaillent et déraillent
S'enfuient les notes en harmonie
Chansons douces en cavale
2016 à 2017 sauter le pas
Regarder juste devant
Se réjouir de ce qui sera
Marcher dans le vent
Comme le soleil peindre son ciel en bleu
Mettre alors de l'espoir au menu
Y croire encore faire un vœu
Se dire que rien n'est perdu
Suivre sa bonne étoile
Se diriger vers la lumière enguirlandée
Samedi la micheline à grande vitesse me mènera vers Lyon passer les fêtes de fin d'année en douceur et affection en famille et en amitié
A bientôt
Je vous souhaite de bonnes fêtes avec beaucoup de bonheur
43 commentaires -
Photo du web
Frayeurs nocturnes
La nuit brusquement prit la relève du crépuscule. Les lumières une à une s'éteignirent. Je me trouvai soudain plongée dans le noir le plus absolu. Seule, j'eus très peur et me réfugiai sous un abri en bois et retins ma respiration.
Alors le silence s'anima, l'atmosphère fut peuplée de craquements sinistres. Un choc énorme ébranla mon asile. Je me précipitai dehors regardant aux alentours. Ce que je vis me cloua sur place : deux paires d'yeux brillaient dans l'obscurité. Sans faire de bruit, je contournai mon refuge. Le sable était doux sous mes pas et un petit air tiède me caressa le visage. Doucement, j'essayai de distinguer l'objet de ma frayeur. J'apercevais alors, tapis dans un arbre un lion et son petit me regardant fixement. Je tremblais, mes dents s'entrechoquaient, je me jetais dans une fosse étayée de bambous, heurtai une sphère ronde qui égrena aussitôt deux, trois notes de musique. Je demeurais pétrifiée, écoutant chaque bruissement prêt à m'engloutir. Plus tard je fis une tentative de sortie. C'est alors que je me trouvais nez à nez avec un ours énorme. Je crus ma dernière heure venue. Mon Dieu ! Que faire ? Et sans attendre que l'animal réagisse, car je l'avais vraisemblablement réveillé, j'escaladais une maison de bois. Je grimpais d'étages en étages, la peur me donnait des ailes. Je me réfugiais sur le toit. Le plantigrade repris sa digestion.Au loin un chien aboya. Je m'installais confortablement dans l'espoir de terminer cette nuit au calme, ne dormant que d'un œil.
Un vacarme immense venant du fond de l'horizon anéanti mon souhait, s'intensifia à mesure qu'il se rapprochait, me glaça le sang : des troupeaux d'éléphants se dirigeaient sur moi. Mon cœur se mit à battre d'un rythme désordonné. Cette fois ci, c'en était fait de moi, je me recroquevillai, rentrai en moi, redoutant le supplice final.
Surprise ... ! Le tumulte de la horde en marche diminuait peu à peu pour disparaître complètement. Seuls quelques grincements et chuchotements dans les fourrés occupaient le silence. Je dus m'assoupir......
Un flash éblouissement m'aveugla, me tira de ma somnolence. Je n'osais pas ouvrir un œil ... Alors, une voix joyeuse s'exclama « Bonjour mon bébé ». Un doux gazouillis d'ange charma mon oreille. J'entrouvris les paupières ...
La nuit et ses cauchemars s'estompaient dans l'ombre pour ne laisser que le spectacle attendrissant du réveil matinal de ma petite mère, moi sa poupée, perchée au sommet d'un meuble à casiers. Les lions juchés sur l'armoire me parurent bien inoffensifs à la lumière du jour. L'ours dans le coffre à jouets en osier avait l'air des plus débonnaires. Les éléphants de la tapisserie étaient attendrissants, marchant les uns derrière les autres : le papa en premier, puis la maman le tenant par la queue, suivie de son petit éléphanteau.
Lorsque, blottie au creux des bras de sa maman, Linette descendit l'escalier en bois, craquant, mes dernières frayeurs disparurent. J'aurai voulu avoir la parole afin de répondre au joyeux aboiement du chien d'une maison voisine. Je m'endormis sereinement dans le lit encore chaud de Linette, rêvant qu'une petite fille chassait le chat sauvage, du rire plein les yeux. Mirabelle la chatte de la maison se prêtant de bonne grâce à ses jeux, courrait devant elle.
Mounette 1987Je vous laisse pour quelques jours car la limousine avec chauffeur vient me chercher tout à l'heure (6h) pour le sud de la Capitale.
En attendant que la micheline à grande vitesse ne m'amène dans la capitale des Gaulles ...
A bientôt
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Tranquillement nous remontons la pente sur ce beau sentier
Le soleil se mire dans l'étang
En 1455, les seigneurs de Pontsal et de Kervilio s'entendent pour édifier un moulin sur la rive gauche du Bono. Dénommé à l'origine moulin de Pontsal, il change plusieurs fois de nom pour finir par rejoindre le manoir de Kervilio. Le moulin est adossé à une digue de quelque 90 mètres, barrant un étang d'eau douce et d'eau salée que deux roues extérieures canalisent. Sur sa toiture à quatre pans, trois lucarnes et deux souches de cheminée ont des dimensions impressionnantes.
Vestige de roue
Sur le sentier côtier qui nous mènerait à Auray de beaux chênes centenaires
Nous repassons devant le moulin reprenons la voiture la balade fût belle
A bientôt ......
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Dimanche balade
Par le sentier côtier nous nous dirigeons vers la chapelle
Petit bois à côté de la chapelle
La chapelle renferme des ex-votos datant du XIXème siècle. Son clocher a été reconstruit en 1842.
La chapelle est inscrite aux Monuments Historiques depuis 1925.
Reconstruite à la fin du XVIe siècle sur les bords de l'étang de Kervilio, la chapelle Notre-Dame préside à l'un des pardons les plus fréquentés du pays alréen. Son chœur, à chevet plat, est construit sur une fontaine miraculeuse dont l'eau, symbolisant le fleuve de la vie éternelle, jaillit, sous l'autel, d'un renfoncement de la muraille, qui dessine une grande niche sous un arc en tiers-point. Son architecture témoigne de trois époques différentes, même si la Renaissance a laissé l'empreinte la plus forte avec le bandeau mouluré et le banc qui longent les parois, le larmier et les contreforts à ressauts. La fenêtre à réseaux composés de trilobes et de quadrilobes est la principale parure de la chapelle.La fontaine miraculeuse derrière la chapelle
Joli ruisseau près de la fontaine
Dernier regard et nous retournons sur nos pas
Je vous laisse devant le ruisseau avant de vous amener vers d'autres sites
A bientôt
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Le port Saint-Goustan (ou « de Saint-Goustan ») est un ancien port de pêche et de commerce, situé en bordure de la rivière d'Auray (ou rivière du Loc'h), devenu l'un des quartiers d'Auray dans le département du Morbihan.
Il tire son nom de saint Goustan, le patron des marins et des pêcheurs.Dimanche il fait beau et nous allons faire un tour à Saint Goustan. Je vous y ai déjà amenés
Bien que l'église soit sous le vocable de Saint Sauveur, le quartier est sous la protection de Saint Goustan, patron des marins et des pêcheurs.
Sur les hauteurs du quartier, deux clochers se dressent l'un à côté de l'autre. L'église Saint-Sauveur date du XVème siècle. De cette époque, seul le portail subsiste, le reste ayant été détruit lors d'un incendie en 1886 puis reconstruit.
Quelques années après l'autorisation du culte lié aux apparitions de Lourdes, en 1862, le recteur de Saint-Goustan lance l'édification de la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes réalisée dans le style néo-gothique. Elle est achevée en 1878. A l'intérieur les neuf vitraux et la grotte reconstituée évoquent les apparitions de Lourdes.
Nota : l'église Notre-Dame de Lourdes, ancien lieu de dévotion, est actuellement en cours de restauration et elle est fermée au public, depuis juillet 1998. Une réfection de la couverture a eu lieu en 1990 et une partie des vitraux ont été remises en état.Depuis le quai j'aperçois les deux églises de Saint Goustan
J'aime beaucoup ce décor floral
Lorsque la Ria d'Auray s'en va vers le Golfe en passant sous le pont
Nous décidons d'aller voir de plus près les deux églises
Jolie rue pavée en pente
Statue en bois de Saint Goustan
Maison de caractère près des églises
Dans l'église Saint Sauveur
La maquette d'un bateau qui reçu le Prix spécial du jury catégorie "Ex-voto" au Concours national du Patrimoine des Côtes de France 1996.
Les vitraux
En redescendant vers le port, belle porte
A droite la rue qui monte vers les églises à gauche elle va vers le port
Retour vers la voiture; le jour doucement décline
J'espère que la balade vous aura plu
Je vous laisse je vais dormir car demain je me lève de bonne heure la limousine me mènera au Sud de la Capitale juste un aller/retour
A bientôt
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